Après avoir gravi tous les échelons – jeune à l’établi, chef d’atelier, responsable du bureau d’études, chef de projet – Hervé Degrenne est devenu un responsable technique apprécié par la profession pour sa rigueur et son professionnalisme.
Quel est ton 1er souvenir chez James ?
Je suis arrivé dans l’entreprise un 2 janvier, il faisait très froid, dans un atelier non chauffé, je faisais du débit à la scie à ruban sous les ordres de Roger James (père de Rémi), mais je crois qu’il faut l’avoir vécu pour le comprendre ! (rire)
Quels sont pour toi les faits les plus marquants de ta carrière ?
Peut-être le premier chantier que j’ai fait à l’étranger, c’était à Sao Paulo en 1997 (jour de la mort de Lady Di) pour l’aménagement d’une villa, un des premiers grands dossiers d’agencement pour James.
Un mot pour qualifier l’entreprise ?
Familiale. J’ai toujours aimé les gens avec qui je travaille. Il y a un esprit James fondé sur le respect de chacun ; j’aime qu’on le conserve.
Un mot pour qualifier ta carrière ?
Une certaine fierté, je suis arrivé au bon moment, nous étions cinq. J’ai progressé avec l’entreprise.
Ta plus grande fierté professionnelle ?
Peut-être le chantier sur lequel je suis actuellement ! Le Musée de Bordeaux… j’ai fait beaucoup de résidences privées, de beaux endroits, mais un musée comme celui de Bordeaux, tout le monde pourra en profiter.
Qu’aimes-tu dans ton métier ?
Répondre aux besoins des gens, les accompagner dans leurs projets. Lorsque nous arrivons, nous partons de presque rien, d’un plan et puis on les accompagne pour faire de belles choses.